Avec une simplicité déconcertante, on dirait que Robert Wyatt réinvente les classiques populaires. Il y glisse sa touche psyché, comme si elle était extraite de nos plus petits rythmes intimes. Cloué dans une chaise roulante par un accident, après son départ de Soft Machine, le musicien de Bristol poursuit une carrière solo. Il collabore alors fréquemment avec Brian Eno et Paul Weller.
Il est de retour avec Comicopera, dernier volet d’une trilogie entamée avec Shleep (1997) et Cuckooland (2003).
--> * °
good for your ears & soul
*_°
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire